LE PRINTEMPS DU CINEMA ISRAELIEN

Du 11.05 au 3.06

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Films:

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Cupcakes, d’Eytan Fox, 2013, 1h40

Dans cette comédie musicale, Eytan Fox fait une pause dans sa filmographie qui la fait connaître dans le monde entier. Connu pour être à la pointe du combat LGBT avec des films comme Tu marcheras sur l’eau ou The Bubble. Ici, il se livre à une comédie un peu déjantée sur un groupe d’amis qui, devant la télé, a l’idée de candidater pour Eurovision. Ce qui était une blague imbibée de bière devient réalité…et comédie musicale.

A Albi, cinéma le CGR La Pérouse.  Lundi 19 mai à 20H. Dégustation de vins israéliens.

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Lire Lolita à Téhéran, d’Eran Riklis, 2024, 1h47

Eran Riklis reste fidèle aux idées qu’il défend dans tous ses films: la liberté, l’absurdité des régimes qui prônent la guerre, l’humanité qui transcende les différences.

Dans la lignée de La fiancée syrienne et de Les citronniers, Eran Riklis suit le combat d’une jeune femme qui veut enseigner la littérature occidentale à l’université de Téhéran. Elle rencontre évidemment nombre d’obstacles.

Ce film a déjà reçu plusieurs prix internationaux.

A Montauban, cinéma le CGR le Paris. Dimanche 11 mai à 15h. Dégustation de vins israéliens.

A Toulouse, cinéma le Cratère. Samedi 31 mai à 18h. Dégustation de vins israéliens.

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La fiancée syrienne, d’Eran Riklis, 2004, 1h37

Une jeune femme druze du Golan doit épouser un syrien qu’elle n’a jamais rencontré. Alors qu’avec sa famille et sa belle robe de mariée, elle se rend à la frontière, un imbroglio administratif l’empêche de quitter Israël. Une comédie kafkaïenne, en une région où se côtoient l’absurde, la tragédie et la comédie.

A Toulouse, au Goethe Institut, Jeudi 22 mai à 18h30

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Le déserteur, de Dani Rosenberg, 2023, 1h38

Le titre original «  The vanishing soldier » le « soldat disparu » explique mieux ce réquisitoire contre la guerre. Un jeune soldat appelé à se battre à Gaza décide de rejoindre sa fiancée à Tel Aviv. Il quitte la zone de combat et s’enfuit à vélo. Mais les autorités israéliennes croient qu’il a été kidnappé. Un film tourné avant les tragiques événements du 7 octobre et ses conséquences. Un film tonique. Un manifeste pour que les jeunes ne soient pas broyés par la guerre.

A Toulouse, cinéma Le Cratère. Samedi 31 mai à 20h30. Dégustation de vins israéliens.

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Tatami, de Zar Amir Ebrahimi et Guy Nattiv, 2023, 1h43

Ce film réalisé par une Iranienne et un israélien part d’un fait réel: une sportive iranienne se voit contrainte par son gouvernement de ne pas poursuivre la compétition de judo, afin de ne pas se confronter à une adversaire israélienne, donc être obligée de la saluer. Et dans le film, il s’ensuit une véritable intrigue. 

A Montauban, cinéma le CGR le Paris. Dimanche 25 mai à 15h.

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La chambre de Mariana d’Emmanuel Finkiel, 2025, 2h10

Ce film français entre dans cette programmation parce qu’il est inspiré d’un roman de l’auteur israélien Aharon Appelfeld. Le récit se situe en 1943, en Ukraine. Pour sauver son Fils Hugo, sa mère le confie à une amie non juive. Or celle-ci pratique un métier bien particulier et vit dans une maison close.

A Toulouse, cinéma Le Cratère. Lundi 2 juin à 20h30